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THE BRUTALIST, de Barry Corbet (2025), ⭐️⭐️⭐️✨

Photo du rédacteur: mistigrimistigri

Fuyant l’Europe d’après-guerre, l’architecte visionnaire László Tóth arrive en Amérique pour y reconstruire sa vie. Attendant que sa femme et sa nièce puissent le rejoindre, il est livré à lui-même. László pose ses valises en Pennsylvanie où l’éminent et fortuné industriel Harrison Lee Van Buren reconnaît son talent de bâtisseur.


 

Points Positifs +++ :


  • Le film est très intéressant d'un point de vue historique et sociologique. On se demande même si ce n'est pas un film biographique.

  • De nombreux procédés cinématographiques ont été utilisés pour tourner ce film, dont des formats pellicule : le 16mm et le 35mm - VistaVision (8 perforations). Il est distribué notamment en 70mm dans plusieurs cinéma. C'est également pour cela qu'il y a un intermède de 15 minutes au milieu du film, pour permettre le changement de bobine.

  • Même si les acteurs sont bons et que le scénario nous permet de tenir les 3h35 du film, The Brutalist n'est pas exceptionnel au niveau de l'histoire, mais a beaucoup de succès, car il nous rappelle ce qu'est le vrai cinéma (une histoire construite, un format intéressant, une photo magnifique de Lol Crawley, un entracte), que nous n'avons que trop rarement l'occasion de voir de nos jours.


Points Négatifs --- :


  • L'intelligence artificielle a été utilisée dans ce film. L'un de ses emplois, pour les plans d'architecte, peut être défendu. Par contre, s'en être servi pour "rendre l'accent des acteurs plus fidèle quand ils parlent en hongrois" est largement discutable.

  • Pourquoi le réalisateur fait-il appel à plusieurs formats d'images dans son film ?

  • Les images en caméra portée à la fin du film sont difficilement supportables.


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