En 1957, en pleine guerre froide. Le professeur Henry « Indiana » Jones, aventurier et archéologue de son état, est embarqué dans un complot soviétique visant à découvrir le secret des mystérieux « crânes de cristal »
Points Positifs +++ :
On aime retrouver le personnage de Marion (Karen Allen, du premier Indy), qui est vraiment très chouette dans ce film. On constate également qu'Harrison Ford fait toujours la plupart de ses cascades (au grand dam de ses cascadeurs).
C'est encore Drew Sturzan qui a réalisé l'affiche de ce nouvel opus. Elles ont toutes un style reconnaissable, très films hollywoodiens de l'Age d'Or, qui est très plaisant.
Pour une fois, Indy est accompagné non pas d'une blonde, mais d'un jeune homme, Mutt, incarné par Shia LaBeouf. On sent que non seulement l'industrie hollywoodienne a évolué, mais on constate aussi qu'un duo masculin peut très bien fonctionner.
Points Négatifs --- :
Bon. On a passé un nouveau cap dans l'improbable avec les petits hommes verts...
Cate Blanchett en grande méchante est bien, mais est en même temps d'un ridicule exacerbé.
On aurait aimé voir certains des personnages récurrents des autres films, même si on est contents qu'une partie d'entre eux soit au moins mentionnés - on regrette d'ailleurs la mort de Pat Roach, seul acteur à avoir participé aux trois premiers films, toujours dans un rôle de sbire différent. D'autre part, la saga des Indiana Jones semble toujours préparer un futur (ou des éléments que nous pourrions voir dans les films suivants) qui n'arrivera jamais. Pour finir, la raison pour laquelle Sean Connery n'a pas voulu sortir de sa retraite pour revenir dans un Indy : "If anything could have pulled me out of retirement, it would have been an Indiana Jones film. But in the end, retirement is just too damned much fun… I love working with Steven and George [Lucas], and it goes without saying that it is an honour to have Harrison as my son."
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