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HEAVEN CAN WAIT, d'Ernst Lubitsch (1943), ⭐️⭐️⭐️⭐️

Juste après sa mort, Henry Van Cleve, persuadé de mériter le feu éternel, se présente auprès du Diable et sollicite son entrée en Enfer. Il raconte son histoire (surtout son rapport avec la gente féminine: « If you want to win a girl, you have to have lots of beetles. ») au maître des lieux, toutes les scènes se déroulant un jour de son anniversaire.

 

Points Positifs +++:


  • Les maquillages de vieillissement, réalisés par Guy Pearce, sont très bien faits.

  • Le fait que l'histoire se déroule les jours de l'anniversaire (il ne faut pas oublier que c'est l'adaptation d'une pièce de théâtre, Birthday de Leslie Bush-Fekete) du protagoniste donne au film un intérêt particulier.

  • Le second rôle du grand-père, Hugo Van Cleve, joué par le génial Charles Coburn, apporte une touche d'humour indispensable à Heaven Can Wait.


Points Négatifs --- :

  • Le film a un peu vieilli. Selon Jean Domarchi, dans les Cahiers du Cinéma : « Lubitsch est pour les femmes (à condition qu’elles affirment leur féminité), il est pour les oisifs, les roués. C’est pour cela qu’il est pour les sociétés révolues ».

  • Même s'il a beaucoup de qualités, comme la façon dont est filmée Gene Tierney, ainsi que quelques dialogues mordants, Heaven Can Wait est moins pétillant que The Shop around the Corner (1940), moins prenant que To Be or Not to Be (1942) et moins drôle que Ninotchka (1939).

  • Si on s'attend à une grande histoire d'amour romanesque, on sera un peu déçu.



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