En 1928, alors que Paris vit au rythme des années folles, la danseuse Ida Rubinstein commande à Maurice Ravel la musique de son prochain ballet. Tétanisé et en panne d'inspiration, le compositeur feuillette les pages de sa vie.
Points Positifs +++ :
La bande sonore est importante (tous les bruits), et c'est bien. Dans le film, Ravel dit que tous les bruits, tous les sons sont musique.
On en apprend plus sur le musicien, son travail. La dernière scène est assez belle, mais elle arrive un peu comme un cheveu sur la soupe.
Raphaël Personnaz est assez brillant en Ravel. Il lui ressemble beaucoup. Et c'est lui qui joue 80% des morceaux de piano! Enfin, une partie du film est tourné dans la vraie maison de Maurice Ravel.
Points Négatifs --- :
Le générique du début: au secours! Avec des animations et des effets tout droit sortis d'un logiciel de montage. D'autre part, les adaptations futures du Boléro gagneraient à être montrées à la fin du film, non balancées au début. Et les effets (format carré, ralenti, noir/blanc), stop!
Il y a quelques longueurs, quelques incohérences dans la temporalité, ce n'est pas toujours compréhensible. On se perd dans beaucoup trop d'informations. La fin est en trop.
C'est presque dommage qu'il y ait des musiques d'autres compositeurs dans la bande originale. Et c'est étrange qu'on ne voie pas du tout le frère de Maurice.
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